"En 2018, un bon chef ne suffit plus pour rentabiliser un restaurant"

Depuis l’arrivée des caisses blanches, les restaurants alternatifs poussent comme des champignons. Parmi eux, Umamido. La chaîne veut donner aux Belges le goût des "ramen". Et conquérir les pays voisins.


Les brasseries classiques souffrent à Bruxelles. Cartes trop "old school", trop longues, qui ne font pas rêver les jeunes en particulier. Surplus de personnel… Prenons pour dernière preuve la faillite annoncée cette semaine des Brasseries Georges et des enseignes des frères Beyaz (La Maison du Cygne, La Brasserie de l’Ommegang, Le Manhattan, Le Paon Royal, Le Café de l’Opéra, Le North Express, La Pergola, La brasserie de Bruxelles, La Chaloupe d’Or, Le Frederiksborg).

 

Parallèlement, Bruxelles, Anvers et d’autres voient émerger de plus en plus de petites chaînes de restaurants hype: Ellis Gourmet, Huggy’s Bar, Manhatt’n Burgers, Balls & Glory et les restaurants spaghetti Bavet… Umamido fait partie de ces restaurants alternatifs.


Paris, Lille, Amsterdam et Londres

Dans son intérieur branché, la chaîne bruxelloise sert des "ramen", un plat de nouilles japonaises, de bouillon, d’herbes aromatiques, de légumes et éventuellement de viande. "Nous avons actuellement trois restaurants à Bruxelles et deux à Anvers", explique le propriétaire Guy Quirynen (35 ans). "Nous comptons ouvrir un troisième restaurant à Bruxelles et un à Louvain dans le courant de cette année. À moyen terme, je souhaite ouvrir un quatrième établissement à Bruxelles et un à Gand".

Les ambitions de Guy Quirynen vont bien au-delà des grandes villes belges. "Nous comptons nous développer à l’étranger d’ici 2019". Il cite Paris, Lille, Amsterdam et Londres.
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